Farah Nella, c’est le charme de la pop et le culot de l’urbain. Un regard envoûtant, une chevelure à n’en plus finir, et un caractère bien trempé : quand on la croise unefois, on ne l’oublie pas. Cette italienne-marocaine de 24 ans à la voix puissante surprend par son énergiecommunicative, autant par sa musique que par sa présence scénique. Elle grandit à Sambreville, en Belgique, bercée par de la musique multilingue. Elle apprend à chanter avec les grands classiques français, italiens, anglais, espagnols, et
arabes. Ceci explique cela : son ouverture d’esprit et le caractère unique de ses chansons aux influences colorées.
Formée aux sciences politiques et relations publiques, Farah a des choses à dire – et elle les dit bien.
Elle chante l’amour, la trahison, la rage de vivre… Quand on l’écoute, on a envie de la connaître. Si son visage ne vous est pas inconnu, c’est normal : en 2018, elle sort un remix de Scridge,
“Karma” , qui buzz sur les réseaux avec plus de 9 millions de vues. Depuis, elle a bien évolué, et
son style aussi.
Aujourd’hui, sa pop urbaine a des allures de new wave, avec des influences afro-beats et des clins d’œil
mélodiques à la chanson française. Quand on lui demande où elle se voit dans dix ans, sa réponse est simple – à l’apogée de sa carrière, entourée de la même équipe. Ses valeurs la définissent, et ça s’entend dans sa musique.